Comment retirer ses courses au drive Casino ?

Entraînements piétons, qui permettent récupérer les achats gratuits commandés sur Internet dans un magasin centre-ville au prix d’un hypermarché, balançant partout en France, un alternative à la livraison à domicile. Le premier « retrait des piétons » dans La France a ouvert ses portes en septembre 2016 à Metz, une idée du signe Cora, principalement présents dans l’est de la France.

A l’origine, dit à l’automne son Le directeur informatique, Philippe Courqueux, devait « combiner deux attentes : celle des employés de lecteurs qui se plaignaient de ne plus voir le client et celui des consommateurs souhaitant contact ». Depuis lors, le panneau a ouvert deux autres, ainsi que 13 « Points de ramassage CoraDrive », installés chez les commerçants indépendant.

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Selon une étude du magazine spécialisé Linéaire, entraînements piétons, installés dans de petits locaux (environ 50 m2), sont maintenant au nombre de 111 en France. « Le parc a été multiplié par quatre depuis la fin du premier semestre 2018, date des précédentes recensement » effectué par le mensuel, qui montre l’engouement de grande distribution pour ce concept original, malgré une dénomination dans la forme de l’oxymoron.

Carrefour, Intermarché ou Auchan au pied de la guerre

En quelques mois, Carrefour, qui a ouvert sa première promenade piétonne en avril à Lyon et Saint-Etienne, est devenu le leader de ce nouveau format, avec 42 sites aujourd’hui, dont 31 à Paris seulement. « Notre atout est notre réseau de territoire, chaque Français étant à moins de huit minutes de l’un de nos magasins », a déclaré Marie en avril Cheval, alors directrice de la technologie numérique chez Carrefour. Interrogé sur le nombre de personnes qui fréquentent ces points de retrait, le panneau a répondu qu’il est encore « trop tôt » pour communiquer.

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Ces « conduite piétonne » s’appuient sur grands entrepôts mécanisés, intitulé « Plateformes pour la préparation de  », (PCC), installé à la périphérie de grandes villes et qui sont également utilisés pour assurer la préparation des commandes faites pour « disques » classiques.

Intermarché, qui a mis en place un service quelque peu similaire via 28 casiers automatiques, alimentés par un « drive » local, a ouvert sa première « promenade piétonne » à Paris en octobre.

Un service également offert par Auchan qui, en plus d’une « promenade piétonne » dans le centre de Lille, également ouverte à Octobre, dispose de six casiers automatiques situés à côté des entreprises, Linéaire.

Ce service répond « adapté aux besoins sociétaux » des consommateurs urbains, un genre de « conciergerie qui ravive les quartiers », analyse Jean Cailliau, expert à la banque d’affaires Bryan, Garnier and Co.

De plus, « c’est la réponse gagnante, économiquement parlant, des détaillants de masse à la livraison à domicile : baisse des loyers, peu de personnel et c’est le client qui assume la livraison », au lieu d’être confiée à un demandeur, dit Cailliau.

Casino n’y pas croire, E.Leclerc,

oui

Le Groupe Casino est plus prudent : « Je ne le crois pas une seconde », a déclaré récemment aux Echos, Régis Schultz, président de Monoprix. les besoins des villes (…) exige le retransport des courses alimentaires, par définition lourde et volumineuse (…) ce n’est pas bon pour l’environnement et cela encombrer l’espace public ».

Leader en termes de parts de marché dans le secteur de l’entraînement traditionnel, les centres E.Leclerc ont été englouchés dans la brèche : la semaine dernière, leur président, Michel-Edouard Leclerc, a inauguré son premier « Leclerc-Relais » dans la capitale, avec l’ambition d’ouvrir « finalement 3 à 4 par arrondissement ». « En 2019, une douzaine de nouveaux E.Leclerc Relais Parisiens ouvriront leurs portes », ajoute la marque, qui compte actuellement 13 en France.

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Le groupe cible « paniers avec une moyenne de 50 euros, donc plutôt les étudiants ou mono-ménages », qui trouverait son principal concurrent, Monoprix, « trop cher », explique Sébastien Macherey, directeur général de sa filiale Parisnordis.

« Pour l’instant, nous découvrons l’entreprise, clients aussi, il y aura sûrement des adaptations à faire vers plus de flexibilité », a-t-il expliqué, en particulier face aux « caprices de la vie Parisien », en termes de temps de transport et d’horaires.

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